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Charroin peint des têtes, des hommes volants, des musiciens
joueurs de flûte ; colle des employés aux allures de chevaux de labours, des
chefs à têtes de manches, mais aussi tout ce qui à l’intérieur de leurs,(de son
crâne), se transforme en de joyeuses abstractions. Inexorablement, avec ou sans figuration, l’exigence picturale reste la même: créer des ruptures, des contradictions, des combinaisons de signes qui menacent l’intégrité du sujet. Ainsi les personnages apparaissent comme des équilibristes, dans une position qui leur imprime tantôt renversements, tantôt travestissements, tantôt mouvements aléatoires. |
